19 Coopératives dans le réseau

LIndépendante, Coopérative alimentaire et solidaire, Paris

Basée dans le 18e arrondissement de Paris, la Coopérative l’Indépendante a pour but de mettre en place une alternative à la grande distribution.
Nous nous sommes regroupés pour devenir les acteurs de nos propres vies et nous engager vers une voie nouvelle dictée par le respect des producteurs, la qualité des produits et une solidarité entre tous sans distinctions. La coopérative fonctionne en autogestion et toutes les décisions importantes sont prises au consensus, ce qui permet à tous de s’exprimer et contribue à l’élaboration d’une forme nouvelle de démocratie locale et horizontale.
Venant en complément des AMAPs, nous achetons des produits « épicerie » pour les revendre à prix coûtants aux adhérents de la coopérative.
Au-delà de nos achats groupés chez de petits producteurs et de la solidarité sociale que nous souhaitons mettre en place, nous voulons aussi sensibiliser, réfléchir, débattre, chanter, organiser d’autres alternatives… ensemble et avec nos voisins…

Nous sommes prêts à aider et accompagner toutes initiatives nouvelles afin d’essaimer partout dans la capitale et dans le pays pour permettre ainsi la création d’autres coopératives…

Ici, site de l’indépendante


Coopaparis, la coopérative autogérée de la Goutte d’Or, Paris

Un groupe d’habitants attentifs à une alimentation saine et à un mode de production juste, auquel chacun peut se joindre ! À Coopaparis, tous les membres sont bénévoles et participent à l’organisation et à la vie de la coopérative. L’adhésion à l’association (30€/an) permet de faire ses achats à la boutique. Cinq fois par an, chaque membre participe à la vie de la Coop : permanence boutique, ménage, livraisons. C’est la participation minimale demandée.

Libre à chacun, ensuite, de s’engager dans des groupes de travail et de proposer des initiatives à la mesure de ses envies, de ses talents et du temps dont il ou elle dispose. Une réunion mensuelle permet de coordonner la gestion quotidienne et de prendre des décisions sur le principe « un membre, une voix ».

Ouverte en janvier 2014, Coopaparis réunit aujourd’hui 450 familles adhérentes.

Ici, site de Coopaparis


Coopali à Champigny sur Marne (94)

Une « coopérative alimentaire » est une épicerie autogérée fondée sur le bénévolat, axée sur l’achat en circuit court de produits de qualité répondant à des critères sociaux et environnementaux exigeants, et la revente de ces produits à prix coûtant.

Membres de l’Amap « les Paniers des Bordes », nous sommes un groupe de personnes à lancer la création d’une coopérative alimentaire car pour nous, cela représente un pas de plus pour :
soutenir l’agriculture bio, paysanne et la plus locale possible,
rendre les produits de qualité accessibles au plus grand nombre, y compris aux revenus modestes,
sortir de la grande distribution, expérimenter et promouvoir un mode de distribution différent, autogéré, fait dans le respect d’une éthique sociale (prise en compte des conditions de travail et des revenus des producteurs et de leurs employés) et écologique (en termes de transport, emballages, etc…),
créer du lien social avec les producteurs mais aussi entre les usagers, par l’organisation de moments réguliers d’échange et de partage.

Autrement dit, il s’agit de se réapproprier une consommation véritablement « responsable », dans un cadre convivial et gratifiant.

Contact : contact@coopali.net


Diony-Coop, à Saint-Denis (93)

La coopérative est approvisionnée par des producteurs ou des grossistes de l’économie sociale et solidaire et prioritairement avec des produits issus de l’agriculture paysanne adoptant des modes de production durables.
La coopérative favorise l’accès à une alimentation de qualité, gustative, nutritionnelle, saine ainsi que d’autres types de produits.
La coopérative favorise l’accès de ces produits au plus grand nombre. Pour ce faire, les produits sont vendus au prix d’achat sans aucun profit.
La coopérative est autogérée par ses membres qui auront accès aux produits en contre-partie d’une participation humaine au fonctionnement.
La coopérative est un projet économique alternatif : fondé sur un modèle à but non lucratif, il n’y a pas d’activité salariée en son sein.
La coopérative pratique la solidarité qu’elle soit individuelle ou collective. La coopérative est gérée par les coopérateurs et nécessite donc un engagement dans l’organisation et le fonctionnement quotidien.

La première boutique a été ouverte en 2015.

Début 2020, il y a trois Diony-Coop à St-Denis qui regroupent 700 familles et proposent un millier de références au prix d’achat sans aucune marge ajoutée.

Contact : dionyversite@orange.fr et le site de Diony-Coop


SoliBio, L’Île-Saint-Denis (93)

SoliBio est une association de consommateurs de produits issus de l’agriculture biologique et solidaire. L’agriculture biologique garantit des produits sains, goûteux, sans colorants, sans conservateurs, sans pesticides, sans OGM… Les adhérents de SoliBio sont solidaires de ce type d’agriculture.Afin de favoriser une alimentation saine et un commerce équitable, dans un environnement préservé, SoliBio vous propose, près de chez vous, de l’alimentation, des produits ménagers, des articles de papeterie… à des prix sur lesquels aucun bénéfice n’est réalisé.
L’accès au magasin pendant les heures d’ouverture ne demande qu’une adhésion de 5€ par an. Pour faire des courses, il faut être à jour de sa cotisation annuelle.
Chacun est invité à participer dans la mesure de ses disponibilités aux activités de l’association ainsi qu’au fonctionnement du magasin.

Ici, site de Solibio


Les amis de la Coop Singulière, Sète (34)

En décembre 2016, le collectif “Sète en transition” anime un débat au cinéma de Sète à la suite de la projection du film “foodcoop” sur la coopérative de Brooklyn ; à la sortie du cinéma les militants de “Sète en transition”
recueillent les coordonnées des personnes intéressées pour monter un projet de ce type sur Sète. Une cinquantaine de Sétois s’inscrit et les premières réunions ont lieu dans un local associatif accueillant les projets alternatifs émergents.
En mars 2018, l’association modifie ses statuts, abandonne l’idée de créer une coopérative et définit ainsi son projet économique et organisationnel :
Un statut associatif maintenu,
Des distributions aux seuls adhérents,
Une gouvernance partagée et sans hiérarchie,
Pas de marge,
Pas de salariés,
2 heures consécutives de bénévolat par mois pour chaque adhérent,
Un abondement de la trésorerie collective vivement souhaité,
Des adhésions qui couvrent les frais fixes,
Un système mixte associant précommandes et achats directs au local,
La coop utilise les outils numériques actuels et accompagne ses adhérents dans leur utilisation ; elle choisit le système informatique Monépi.

Elle a pris de “La Cagette” l’idée d’un forum régulier ouvert à tous les adhérents pour prendre les grandes décisions, de “Diony-Coop”, l’absence de marge commerciale et d’une couverture des frais fixes par les adhésions, de “Monépi” son système informatique facilitant les tâches de gestion, d’organisation et garantissant une grande transparence.
L’association s’organise autour de six groupes d’actions :
Produits,
Information, accueil et forum,
Animation, solidarité et partage de savoirs,
Maintenance du local,
Monépi et planning bénévoles,
Gestion/administration.

Avec 250 adhérents en mars 2018, l’aventure commence.
Ici, site de la Coop Singulière


Cooptopia, Saint-Jean en Royans (26)

Depuis juillet 2017 une épicerie coopérative a ouvert ses portes à St-Jean en Royans.
Mais d’abord qu’est-ce qu’une épicerie coopérative ?
L’épicerie permet de regrouper des personnes adhérentes pour l’achat et l’approvisionnement de ses seules-ls adhérentes-ts en produits divers.
L’épicerie est approvisionnée par des productrices-teurs et grossistes, prioritairement avec des produits issus de l’agriculture paysanne, adoptant des modes de productions durables.
Elle est autogérée par ses membres, et implique donc, un engagement dans l’organisation, et le fonctionnement quotidien, dans la mesure des possibilités de chacun.
L’épicerie est aussi un lieu d’expérimentations, de convivialité et de partage. Il y a un espace d’échange de livres, de CD, de film, de culture.

Comment fonctionne cette épicerie ?
Pour être membre il est nécessaire de s’acquitter d’une adhésion annuelle à l’ouverture de son compte. Le montant est fixé à 12 €, il comprend les frais d’assurance pour le local, les différents frais de travaux ou d’aménagement effectués pour celui-ci, l’eau, l’électricité et le loyer. Plus nous sommes nombreuses-eux, plus l’adhésion est basse.
Les achats s’effectuent à l’aide d’un compte coopérateur.
Ce compte est alimenté par le coopérateur du montant qu’il souhaite. Cette somme représente une avance qui permet de créer le fond de l’épicerie. À chaque visite le montant des achats est déduit de cette somme par le coopérateur lui-même sur sa fiche. Il n’y a donc pas d’argent dans l’épicerie ni de transaction sur place ; les produits présents dans le local sont des produits déjà payés. Le coopérateur alimentera son compte d’épicier par le biais de la personne qui s’est proposée pour la trésorerie.

À l’ouverture, il y avait 30 foyers inscrits, nous sommes aujourd’hui 45 foyers coopérateurs.

Contact : epiceriecoop@riseup.net


Le Peuplié, coopérative alimentaire autogérée à Amiens (80)

Au commencement début 2018, un petit groupe militant voulait vivre l’autogestion. Iels* ont cherché des applications possibles. La visite de Dyonicoop a été décisive : une expérience autogérée très facile et rapide à mettre en œuvre avec peu de risques.

Cocoricoop est pensé comme un outil dont les coopérateurs se dotent en commun et dont ils font ce qu’iels veulent (s’iels s’en donnent les moyens). Il doit permettre à chacun de s’émanciper, de prendre du pouvoir (en particulier sur sa consommation) sans accaparer celui des autres.

“On a décidé de se passer des services de la grande distribution”.

Ce n’est pas le collectif en tant que tel qui doit détenir le pouvoir mais les individus dans le collectif. Le collectif est une force supplémentaire et non pas un frein. Il doit donner à chacun le maximum de pouvoir d’initiative et d’expérimentation, d’autonomie et de se sentir légitime. C’est la condition d’existence d’un bien réellement commun.
Trois mois et demi : c’est le temps entre la décision à deux de lancer ce projet et la première ouverture !

Nous étions une petite vingtaine à ce moment là. Sept mois plus tard, par le bouche à oreille principalement, nous étions 110 foyers. Depuis le nombre fluctue entre 120 et 150 foyers. Le nombre de référence est passé de 50 à 400.

Nos règles du jeu :

Sans élection, sans Bureau et sans CA
Sans Commissions
Sans Employé, sans Patron, sans Hiérarchie
Sans Réunion, sans AG, sans conflit
Sans Heures obligatoires, sans burn-out
Sans Pub, sans réseaux sociaux
Sans Contrôle, sans Interdiction, sans Charte
Sans Gestion informatisée
Sans Marges, Sans Dette

Avec confiance mutuelle
Avec égalité politique
Avec liberté de décider de tout
Avec tolérance
Avec entraide
Avec lâcher prise
Avec responsabilité individuelle
Avec conscience du bien commun

Pour résumer en une phrase, Cocoricoop, c’est un cellier commun !

C’est fait maison, c’est comme chez soi : on aménage et décore, on range et nettoie, on répare, on remplit les placards et on s’y sert, on invite des amis, on discute, on se sent légitime pour faire ou défaire et on en a la charge mentale.

* iel -> « Pronom personnel […], employé pour évoquer une personne quel que soit son genre » d’après le Robert; al -> pronom impersonnel.

Contact : contact@lepeulie.org
et le site pour comprendre Cocoricoop : cooplib.fr
U
ne 2è coop, AbriCoop se prépare à Amiens; contact ici si vous êtes intéressés.


CLAC, Créons la Coop à Creil (60)

En décembre 2016, suite à une rencontre “Colibris”, nous lançons à deux le projet d’une épicerie solidaire qui proposerait des produits de qualité à prix justes.
Le projet a rapidement suscité l’engouement de la population du bassin Creillois.
En juillet 2017, l’association “Créons la Coop” se constitue avec projet d’ouverture d’un magasin coopératif et participatif.
Après de longues recherches de local, la municipalité de Creil nous propose un local de 200m² en plein centre ville avec un loyer de 310 € la première année.
En mai 2019, nous ouvrons les portes de CLAC : Premier magasin coopératif et participatif de l’Oise, avec un large choix de produits locaux et de produits non locaux bios et éthiques tout en privilégiant les produits en vrac afin de tendre vers un objectif de réduction maximale des déchets et zéro plastique.
Nos objectifs et valeurs sont les suivants :
– Encourager une citoyenneté active : passer du statut de client au statut coopérateur.
– Proposer une offre de produits de qualité accessible au plus grand nombre, c’est-à-dire favoriser la mixité sociale et culturelle particulièrement présente sur le bassin creillois.
– Soutenir l’agriculture locale, respectueuse de l’environnement et des producteurs.
– Travailler avec une gouvernance partagée et démocratique.
– Créer du lien social entre coopérateurs et favoriser l’émergence de nouvelles initiatives.

Ici, site de la CLAC


Coop’in en Bourg à Écuras en Charente (16)

En juin 2019 La Coop’in en Bourg ouvrait ses portes dans notre petit village d’Écuras, en Charente.
L’accès à l’épicerie est réservé aux membres du collectif. Pour faire partie de ce dernier il suffit de verser 30 € de participation aux frais pour l’année et 100 € d’avance sur courses mais surtout de donner de son temps pour faire fonctionner le lieu. Aucun minimum d’heures n’est requis, chacun fait en fonction de ses disponibilités.
Nous travaillons régulièrement en partenariat avec trois petits grossistes et une dizaine de producteurs locaux (+ d’autres producteurs de manière ponctuelle).
La plupart des produits proposés sont Bio et disponibles en vrac. Des sacs en tissus, bocaux et bouteilles en verre sont à la disposition des coopérants sur place. Le but étant de sensibiliser au suremballage et de réduire un maximum
les déchets.
Aucune marge n’est appliquée sur les produits, tout est à prix coûtant,
Au démarrage, une trentaine de famille étaient inscrites, à ce jour, 4 mois plus tard, nous en comptons une cinquantaine.

Ici, site de Coop’in en Bourg


La Gennevilloise à Gennevilliers (92)

En 2006 nait à Gennevilliers l’association Consomm’acteurs Gennevilliers. Elle se donne pour objectif de promouvoir une autre façon de consommer, d’autres
relations entre producteurs et consommateurs, à travers une AMAP, et l’organisation de conférences, débats. Dès le départ elle cherche aussi le moyen de permettre aux Gennevillois de s’approvisionner en produits biologiques, équitables, locaux dans la mesure du possible. En effet sur la ville il n’y a pas de magasin de produits biologiques.
En 2016, l’association décide de s’engager dans l’ouverture d’une boutique associative. Les exemples d’autres initiatives, et en particulier celle de St-Denis nous montrent qu’un projet de ce type est viable.
En 2017 une nouvelle association est créée à l’initiative d’une partie des adhérents de Consomm’acteurs, et en juin 2018 ouvre La Gennevilloise dans un local HLM en rez-de-chaussée d’une barre d’immeubles dans un des quartiers les plus populaires de la ville.
Les adhérents gèrent la boutique :
– L’ouverture se fait 3 fois par semaine. Les adhérents s’inscrivent par l’intermédiaire du site internet et doivent normalement être deux pour ouvrir.
– Les commandes : chaque adhérent peut proposer des produits de petits producteurs Bio sous réserve des disponibilités financières de l’association.
– Le paiement des achats : chacun gère sa fiche d’achats à partir du moment où il a, la première fois, déposé une somme de 50 € (le paiement peut être échelonné) pour constituer les stocks.

Au bout d’une année de fonctionnement notre bilan est positif, la boutique tourne avec 150 adhérent-e-s et une soixantaine de personnes en constitue le noyau actif.

Ici, site de la Gennevilloise


Cocoricoop à Villers-Cotterêts (02)

Cocoricoop est pensé comme un outil dont les coopérateurs se dotent en commun et dont ils font ce qu’ils veulent (si ils s’en donnent les moyens). Il doit permettre à chacun de reprendre du pouvoir (en particulier sur sa consommation).
Ce n’est pas le collectif en tant que tel qui doit avoir du pouvoir mais les individus dans le collectif. Le collectif est une force supplémentaire et non pas un frein. Il a pour but de donner à chacun le maximum de pouvoir d’initiative et
d’expérimentation.
Trois mois et demi : C’est le temps entre la décision à deux de lancer ce projet et la première ouverture !
Nous étions une petite vingtaine à ce moment là. Sept mois plus tard, par le bouche à oreille principalement, nous sommes 110 foyers et en constante augmentation. Le nombre de référence est passé de 50 à 300.

Ici, site de Cocoricoop


La Coop du Coin à St-Nazaire (44)

Au printemps 2017, un petit groupe de personnes décide d’initier un projet d’épicerie coopérative et participative à St-Nazaire et sur la presqu’île guérandaise. Une association se crée : les Ami-e-s de la Coop du Coin.
En juin 2017, une première réunion publique se tient : 100 personnes répondent à l’appel. En mai 2018, une première boutique s’ouvre : on y teste idées et procédures en vue de l’ouverture d’une vraie boutique et celle-ci s’installe en octobre 2018.
Chaque adhérent-e s’engage moralement à œuvrer pour la tenue de la boutique, à raison de 2 heures consécutives par mois : il est ainsi “consomm’acteur”. Des formations se tiennent pour aider les nouveaux et nouvelles adhérent-e-s à effectuer leurs créneaux.
Un système de pré-paiement a été mis en place qui facilite un abondement des finances de l’association et permet les achats, sans obliger qui que soit à avancer de l’argent : on peut prépayer du montant exact de ses courses.
Les marges ont été réduites au minimum, soit 9 %, afin de permettre au plus grand nombre d’acheter dans l’épicerie.
Dans notre boutique, nous avons un coin fruits et légumes, un coin épicerie sèche avec de très nombreux produits proposés en vrac, un coin crèmerie, un coin droguerie (produits d’hygiène, soin du corps, produits d’entretien) et un coin viandes. Tout ce qui se trouve quand on va faire ses courses habituellement. De tout et au même endroit.
Le produit idéal est local, Bio, de saison, en circuit court et équitable… et à un prix le plus accessible possible.

Ici, site de la Coop du Coin


Les 400 Coop à Paris

À l’automne 2017, le nombre d’adhérent-e-s à l’association augmentant et le projet se précisant, nous créons “Le Panier du 12ème”, une SAS (Société par Actions Simplifiées) à capital variable et aux statuts coopératifs (assurant le principe une personne = une voix). On ne parle désormais plus d’adhérent-e-s mais de coopératrices et de coopérateurs : la naissance de la SAS est actée par la signature des statuts par 15 coopératrices-teurs.
Un Local ça change tout…
En août 2018, nous sommes officiellement locataires du local, mais d’importants travaux sont à réaliser. L’ouverture officielle du magasin se fera le 1er février 2019.
Octobre 2019. Le magasin est à l’équilibre financier.
Février 2020 nous sommes plus de 720 coop’s, cette fois, c’est bien parti !
– 3h par mois, mais bien plus pour un noyau dur d’environ une cinquantaine de coop’s, 5 commandes de fruits & légumes par semaine, des réunions presque tous les jours.
– 7 groupes de travail (approvisionnement, finance, communication, solidarité, exploitation, informatique, réglementation), ça carbure grave !!
L’autogestion en marche ! C’est pas simple mais c’est vraiment enrichissant.

Ici, site des 400 Coop


Hêtre Solidaire Coop à Ruelle Sur Touvre (16)

Nous avons lancé notre Épicerie Coopérative en février 2020 . Nous sommes situés prés d Angoulême, en Charentes, à Ruelle sur Touvre. La mairie nous met actuellement à disposition un local. Notre adhésion s ‘élève à 20 euros.

Nous souhaitons promouvoir « le mieux manger » et nous nous regroupons pour commander chez des grossistes et producteurs prioritairement bio et/ou locaaux. Certains coopérateurs vendent aussi des produits (savons, sacs, etc). Nous nous sommes inspirés des valeurs de Diony-Coop concernant l’autogestion, le fonctionnement général et essayons de faire vivre le respect de chacun, l’initiative, la responsabilité et la bienveillance entre membres.

Nous sommes au début de notre aventure et nous réunissons déjà 50 familles coopératrices. Nous sommes ouverts principalement tous les samedis matins. Nous participons ou organisons aussi des temps citoyens et conviviaux (apéro, conférences, expositions culturelles etc).

Epicerie Coopérative, 3 rue Charles Gide, 16 600 Ruelle sur Touvre
Contact : hetresolidairecoop@@lilo.or


CompiCoop à Compiègne (60)

La CompiCoop est née d’un œuf de la Cocoricoop de Villers-Cotterêts ! Comme quoi, les poules ont le droit de chanter le sacré Cocorico aussi.
Le projet porté par Viviane,  a été lancé en une quarantaine de jours ! Une première réunion s’est tenue à 9 fin août 2020, avec 2 parrains de la Cocoricoop.

Des réunions ont été ensuite organisées en septembre. Un lieu temporaire a été trouvé à l’Alchimie (merci encore à eux!). Un groupe d’approvisionnement s’est rapidement constitué. Nous avons lu le saint livre vert de la Dyonicoop et hop! le 10/10/2020, les premières denrées étaient à la vente !

L’autogestion, c’est tout en art. Parfois on patauge, on tergiverse, on patiente. C’est bien aussi, la patience.

Nous avons plusieurs groupes ouverts à tous, chacun doit pouvoir faire sa part. Le plus dur est de communiquer simplement et d’une manière efficace. Dur de se libérer des GAFA!

Bref, rejoignez-nous ! La CompiCoop reprend la charte des Coop autogérées. Pas de salariat, les adhérents font tout de A à Z, en confiance. Nous préférons le bio et le local.

Contact : CompiCoop@mailo.or et ici le site de CompiCoop


L’Aontraide à Laon (02)

L’Aontraide, coopérative alimentaire autogérée par ses adhérents, prône un mode de consommation alternatif où les coopérateurs sont à la fois consommateurs, acteurs et décideurs. A la coopérative, nous privilégions les circuit court et soutenons les producteurs locaux.

Pourquoi une coopérative autogérée ?
– Manger mieux pour moins cher,
– Créer et expérimenter une alternative à la grande distribution,
– Favoriser le circuit court,
– Décider par soi-même à qui donner son argent,
– Acheter des produits bio (mais pas que) et du commerce équitable (mais pas que) à des prix raisonnables,
– Prendre en main son alimentation dans un esprit solidaire avec celles et ceux qui produisent,
– Promouvoir des actions alimentaires solidaires,
– Animer et autogérer ensemble un espace commun.

Comment ça fonctionne  ?
– Chacun doit mettre la main à la pâte,
– Si tu adhères à la coopérative, tu t’engages à sa bonne marche en tenant des permanences et en participant à l’organisation : commandes, réception des livraisons, étiquetage, mise en rayons, ménage,…
– Bref, l’autogestion ne s’autogès pas toute seule…

Combien de temps ça va prendre ?
Cela dépend de toi, si tu as envie de développer des projets plus personnels ou juste participer à la vie de la coopérative, tu es libre de gérer ton temps comme tu le sens.

Combien ça va coûter ?
– Pour couvrir les charges (assurances, électricité, gaz,…) la cotisation annuelle est de 20€. Selon tes moyens, une cotisation réduite à 15€ est aussi proposée.
– Tu déposes de l’argent sur ton compte à la coopérative : c’est ton budget pour tes courses,
– Il est nécessaire que ton compte soit toujours créditeur de 30€ (minimum pour les futurs achats),
– Sache que les produits vendus à la coopérative sont de 10 à 30% moins chers que dans le commerce.

L’Aontraide, 8, rue Châtelaine, 02000 Laon
Contact : CompiCoop@mailo.or et le site de laontraide


Le Local à Saint-Dolay (56)

L’idée a germé pendent le premier confinement qui a mis en évidence le manque d’une épicerie dans le bourg. Le propos était alors de créer un service de proximité et proposer de préférence l’achat de produits locaux et /ou biologiques et/ou de premières nécessités ainsi que la promotion des services locaux et de l’artisanat local.
Tout fonctionne avec des bénévoles qui tiennent des permanences de 5h (une demi-journée), certains plus que d’autres suivant leurs disponibilités.
La décision d’appliquer une marge sur la vente (très basse : 10 à 15%) nous a permis une qualité de fonctionnement, de stockage (froid), et d’actions sociales et solidaires.
Prouver que le bio est accessible à tous était un de nos buts.
L’épicerie à 600 adhérents et propose 800 références en rayons.

Le Local, 8 Place de l’église, 56130 Saint-Dolay
Contact : epiceriesaintdolay-ass@mailo.com et ici, le site du local


Riecoop à Riec sur Belon (29)

L’épicerie a été ouverte en juillet 2020 dans cette petite ville de 4.165 habitants. Fin 2022 elle comptait 145 adhérents.
Offre produits : épicerie produits secs, vrac, boissons, local, bio, pas de produits frais, produits hygiène et entretien.
Le montant de l’adhésion 60€/an, soit 5 €par mois

En amont de l’ouverture, plusieurs réunions ont eu lieu dont une avec un adhérent des DIONY-COOP (coopérative alimentaire de St. Denis en région parisienne) qui nous a parlé de son expérience avec différents documents écrits et visuels.
Différentes commissions ont été créées : fournisseurs, travaux, animations, communication, administration, trésorerie, solidarité qui se réunissent une fois par mois ;
Deux référents de chaque commission sont présents à la grande réunion mensuelle, ouverte à tous, qui permet de faire le point…
La collégiale des premières années s’est largement élargie.
L’épicerie apparait sur facebook pour des informations, des demandes, des rappels ….
L’épicerie a un site internet où chacun peut lire les comptes rendus de réunion de commissions, de la grande réunion, des assemblées générales.
Nous pouvons nous inscrire sur différents framadates concernant les permanences, les commandes, les livraisons, le ménage, l’ouverture du bar….
Nous faisons nos courses le lundi soir 17h-19h, le mercredi matin 9h-12h et soir 17h-19h, le vendredi soir 17h-19het le samedi matin9h-12h.Nous inscrivons le montant de nos achats sur une fiche personnelle et le déduisons du montant déposé, en laissant toujours 50 €sur notre solde.
Deux comptes bancaires, deux trésoriers : un compte pour loyer, charges, dépenses diverses et un compte pour les commandes fournisseurs.
Nous avons un bail privé, le loyer est de 800€. Le lieu est un ancien bar, la superficie est de 80m2+une cave et un jardin.
Une librairie et une friperie ont été mises en place et sont gérées par des bénévoles : elles remportent un franc succès. Une tirelire est en place pour une participation à l’appréciation de chacun-une. Périodiquement des concerts sont organisés, très appréciés ou le bar ouvert le vendredi soir

Riecoop, 25, rue François Cadoret, 29340 – Riec-sur-Bélon
Contact : lariecoop@gmail.com et ici le site du local